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DOSSIER SECURITE INCENDIE BIOMASSE


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EXTRAIT DU DOSSIER SECURITE INCENDIE paru dans la revue "VALEUR ENERGIE" n° 23 - printemps 2017

 

>> PAROLES DE PROS

"Trois fois moins de combustible à gérer"

"Même si l'installation d'une chaudière biomasse n'est pas classée, nous devons nous imposer de respecter les normes en vigueur des équipements en matière de sécurité incendie et explosion. C'est un investissement, certes, mais il ne faut pas lésiner dessus. C'est l'assurance de prendre le moins de risques face aux personnels et à l'appareil de production" explique Grégory Legros, co-fondateur et co-gérant de G.L.S.I

 

 

INVESTIR DANS LA SECURITE DES EQUIPEMENTS BIOMASSE

 

 

UN SYSTEME DE VIDEOTHERMIE PREVIENT LES DEPARTS DE FEU DANS LES SILOS A BOIS

En matière de prévention des risques des chaudières biomasse, quelles sont les contraintes que vous rencontrez ?

De manière générale, la sécurité incendie est soumise à des règlementations très strictes.

Elles concernent les ERP (établissements recevant du public), les ERT (établissements recevant des travailleurs), les locaux d’habitation, les locaux spécifiques (locaux à risques d’incendie).

Les exigences en matière de sécurité incendie diffèrent pour les locaux spécifiques, bien que la base soit identique ; les biomasses entrent dans ce cas de figure.

Pour autant, cette réglementation ne s’y applique pas ; Il n’y a aucune obligation réglementaire à prévenir contre les risques d’incendie ou d’explosion.

Néanmoins, les constructeurs et les assureurs incitent à le faire pour éviter les risques et surtout les importants dommages sur les personnes, l’environnement et la production.

 

IL FAUT EVALUER LES RISQUES AFIN DE DETERMINER LES TYPES DE TECHNOLOGIES EFFICACES

Quels équipements peut-on alors proposer ?

Les chaufferies gaz doivent répondre à une réglementation de base en matière de prévention des risques à partir de 2MW de puissance. Ce qui est absurde car quelle que soit la puissance, les risques existent.

Jusqu’à 20 MW de puissance, il faut s’appuyer sur ces normes pour les chaufferies biomasse. Ainsi, il est nécessaire d’évaluer d’abord les risques afin de déterminer les types de technologies à mettre en place.

Il faut étudier sur site les matériels à utiliser pour la réalisation de l’installation : le type de câbles, leurs passages, les technologies, etc… Des câbles anti feu, qui restent non accessibles et entièrement protégés

et à bonne distance du chemin des câbles à haute tension.

C’est la manière la plus optimale de penser le système de prévention des risques incendies et explosion.

 

D’autres technologies peuvent venir en complément ?

Le système SSI (système de sécurité incendie) est constitué d’une centrale de type A1 avec ses périphériques (déclencheurs manuels, détecteurs optiques de fumée ou autres…) du même constructeur,

permettant d’avoir les certificats d’associabilités obligatoires. En revanche, pour les chaudières biomasse, c’est différent. L’environnement de ces chaufferies étant difficile (poussière, humidité, chaleur, condensation),

il met à rude épreuve les matériels de détection provoquant parfois des alarmes intempestives. Pour palier ces problématiques à l’intérieur des silos de stockage du bois, nous utilisons un système de vidéothermie

paramétré en fonction de la température. A cela s’ajoute une détection du monoxyde de carbone par aspiration qui analyse l’air ambiant. Si la prévention des risques est souvent sous-estimée, il ne faut pourtant

pas lésiner sur ces investissements.

C’est une assurance sur l’avenir.<<

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03.20.84.06.53.

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